32,7%
Part des espaces de canopée sur le territoire de Bordeaux Métropole
24 854€
Niveau de vie moyen annuel des habitants de la métropole.
5 042
Nombre d’établissements de type 'Industrie manufacturière' (section NAF C) sur la métropole.
24 157
Nombre d’associations actives dont le siège se situe sur la métropole.
96,1%
Part des bâtiments (individuels ou collectifs) ayant accès au très haut débit sur la métropole
Actualité
A la Une
La donnée : levier stratégique de la résilience territoriale face aux aléas 17 juillet 2025

Des vulnérabilités observées grâce à la donnée

La résilience commence par une compréhension fine des risques. À Bordeaux Métropole, ceux-ci se répartissent en trois grandes catégories :

  • Les risques naturels, amplifiés par le réchauffement climatique, avec des hausses de température, une modification de la pluviométrie et une montée des eaux, qui viennent aggraver les phénomènes d’inondation, d’incendie, de retrait-gonflement des argiles ;
  • Les risques technologiques, tels que les accidents industriels ou la pollution ;
  • Les cyber-risques, qui menacent la continuité numérique du territoire.

Pour établir un plan de résilience efficace, la métropole s’est appuyée sur une collecte massive de données issues de multiples sources publiques comme DRIAS (Donner accès aux scénarios climatiques Régionalisés français pour l'Impact et l'Adaptation de nos Sociétés et environnement), le BRGM (Bureau de recherches géologiques et minière) ou encore l’Agence Nationale de l’Eau. Lorsque certaines informations manquaient, des protocoles d’observation spécifiques sont en cours de déploiement, notamment pour évaluer l’état des sols.

Ces données ont été croisées avec la cartographie des infrastructures stratégiques : infrastructures critiques, essentielles au fonctionnement du territoire ; établissements accueillant des publics vulnérables comme les écoles et centres médico-sociaux ; sites de commandement pour coordonner les réponses opérationnelles, tels que les centres de secours.

Grâce à ce croisement, des bassins de risques – zones où plusieurs vulnérabilités se concentrent – ont été identifiés, permettant de hiérarchiser les priorités d’intervention.

“L’analyse des données territoriales nous a permis d’identifier les zones les plus exposées et de cibler nos efforts de prévention et d’intervention.”
Valérie Saberan, Directrice de la mission “Risques climatiques et résilience

Présentation de l'outil jumeau numérique du Territoire - Observatoire des vulnérabilités

De la donnée à l’action collaborative

La donnée est également un outil puissant pour mobiliser les parties prenantes. Des cartes de risques ont été partagées avec les communes de la métropole, qui ont contribué à affiner les informations et à enrichir les bases nationales.

Dans la zone industrialo-portuaire de Bassens, où les risques s’imbriquent (inondations, canicules intenses, risques industriels), deux ateliers ont été organisés avec les entreprises locales pour une prise de conscience collective et une réflexion sur les actions communes : une gestion de crise a été simulée pour tester les plans de réponse et renforcer les protocoles d’intervention.

“La cartographie des vulnérabilités a créé un terrain d’entente pour engager un dialogue constructif avec les acteurs locaux.”
Sébastien Lavigne, Responsable du service Gestion des Risques et Crises

La donnée au cœur des opérations de résilience

La prévention repose sur une sensibilisation large et précise, rendue possible grâce à la data. En octobre 2024, lors du mois de la résilience, près de 90 événements ont été organisés pour informer habitants et acteurs locaux. Conférences, expositions et ateliers interactifs ont permis d’ancrer la culture des risques dans le quotidien des citoyens.

En cas de crise, les données cartographiques jouent un rôle central. Lors d’une récente inondation, elles ont permis d’identifier rapidement un campement de gens du voyage dans la zone impactée, facilitant ainsi une intervention ciblée.

Enfin, la donnée guide la construction d’un plan d’action territorial. Voté en conseil le 6 juin 2025, ce plan intègre les diagnostics, évalue les initiatives existantes et propose des solutions concrètes pour réduire durablement les vulnérabilités.

En plaçant la donnée au cœur de sa stratégie, Bordeaux Métropole fait plus que répondre aux aléas climatiques et technologiques : elle bâtit les fondations d’un territoire durablement résilient, capable d’anticiper, de s’adapter et de protéger efficacement ses habitants.

Les jeux de données Datahub en lien avec l’article :

Pour aller plus loin :

A la Une
Des pompiers, des arbres …et de la data ! 17 juin 2025

Imaginez un instant le défi quotidien des sapeurs-pompiers : chaque seconde compte pour sauver des vies, et pourtant, un simple arbre mal placé pourrait compromettre une intervention. Comment concilier l'urgence vitale des secours avec notre désir grandissant de verdir nos villes ? Cette question, en apparence anodine, cache une complexité insoupçonnée qui a conduit à une petite innovation dans la gestion des données bâtimentaires entre Bordeaux Métropole et le SDIS. Voici l'histoire d'une transformation silencieuse, où la donnée est devenue la clé pour harmoniser aménagements nouveaux, sécurité et environnement dans nos espaces publics.

Des contraintes bien réelles sur l’espace public

À la base, comme souvent, un besoin simple, et très vite, des enjeux multiples. Le SDIS reçoit systématiquement les projets de réaménagement de l’espace public, pour émettre un avis et éventuellement observations, afin de s’assurer leur conformité avec les besoins de sécurité. Concrètement, que les interventions d’aide à la personne ou d’incendie puissent toujours être assurées avec les moyens adaptés une fois l’aménagement réalisé, mais que cette garantie persiste aussi dans le temps (par exemple, en tenant compte des arbres, qui évoluent).

Parmi ces contraintes, une a trait à la hauteur de bâtiment. En effet, au-delà d’une certaine hauteur (précisément, 8 mètres de haut au niveau du plancher du dernier étage), les services d’intervention doivent pouvoir utiliser leur camion grande échelle. Mais il ne s’agit pas seulement de hauteur : on examine également, bien sûr, si le bâtiment concerné est en proximité de voirie (concrètement, si sa façade est à moins de huit mètres de la voie publique). Pour prendre en compte ce besoin d’espace pour le déploiement de l’échelle de secours, il n’est pas possible de planter un arbre au droit de la façade. Mais il existe aussi des exceptions : tous les bâtiments hauts peuvent nécessiter ce type de moyen d’intervention en fonction de la configuration des lieux, il est donc nécessaire de pouvoir aussi les identifier, afin d’y apporter une attention particulière.

Un travail collaboratif autour de la donnée

Pendant longtemps, faute de partage et de visibilité sur ces données essentielles, les services de la métropole en charge de l’aménagement produisaient des propositions de projet « en aveugle », et ne réalisaient l’impossibilité du projet que lors de sa soumission au SDIS, avec un retour négatif sur le projet, nécessitant un re-travail parfois important. On imagine la perte de temps des deux côtés…

Les arbres étant au cœur du sujet, un groupe de travail s’est monté. À partir de là, focus sur la DATA : autour de la table, le SDIS, le projet « Plantons un million d’arbres », les services en charge de la prévention et de la résilience, les services en charge de la donnée. Le but : faire un démonstrateur convaincant en croisant les données déjà disponibles, mais pas pleinement exploitées pour ce besoin.

Une nouvelle « couche d'information » partagée

Au bout de l’effort, une nouvelle « couche d’information » disponible dans les outils cartographiques utilisés par tous les partenaires de l’opération, pour que les porteurs des projets d’aménagement sachent dès l’origine les contraintes en hauteur et en distance à la voirie, et travaillent en fonction. Ce qui pourrait paraître une évidence ne l’est jamais, et ce cas d’usage en est une preuve de plus : il faut tout d’abord prendre conscience du potentiel des données déjà disponibles pour simplifier, rendre plus performant. Et ensuite, comprendre comment la produire, après une analyse partagée.

Changer notre regard sur la donnée

C’est aussi changer notre regard sur la donnée. La donnée disponible sur les bâtiments nous indique leur positionnement et leur hauteur. La donnée sur l’espace public est habituellement utilisée pour la connaissance et la gestion de l’espace public… Et en croisant les deux types d’information, on répond à un besoin récurrent, mais jamais traité comme tel.

En un mot : on crée de la valeur, avec la donnée !

Aperçu de la maquette 3D

Les jeux de données Datahub en lien avec l’article :

Pour aller plus loin :

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Cap vers 95 pourcent de disponibilité : l’open-data au service de l’efficacité du réseau métropolitain de vélo en libre accès 16 juin 2025

Le taux de disponibilité des stations de vélos de 50% hier est aujourd’hui remonté à 90% grâce au pilotage par la data. Il atteindra très prochainement l’objectif attendu de 95%.

Comment évaluez-vous l’efficacité du réseau de vélos en libre accès de Bordeaux Métropole ?

Christophe Demonchy (C.D) : Le réseau est géré par un délégataire, Keolis Bordeaux Métropole Mobilités (KB2M), qui est tenu de respecter des objectifs contractuels en matière de qualité de service. Ainsi, 95% des stations de vélos en libre accès doivent être continuellement fonctionnelles, et permettre aux voyageurs de prendre ou de déposer un vélo. Cela implique de maintenir un juste niveau de remplissage des stations.

Évaluer la qualité de service assurée par notre délégataire implique de disposer de données précises relatives à l’exploitation des vélos. Nous avons lancé en 2024 une nouvelle offre pour les usagers : remplacement des anciens vélos, mise en place d’un service de location et d’emprunt longue durée, stationnement dans des abris sécurisés… Nous avions besoin d’une vision sur la performance de ces nouveaux services.

Nous avons donc amorcé un projet visant à intégrer et analyser les données du réseau de vélos en libre accès en collaboration avec les équipes data de Bordeaux Métropole. L’objectif : améliorer son efficacité, et évaluer la performance des nouveaux services proposés.

Comment êtes-vous parvenu à structurer une vision globale du réseau de vélos en libre accès ?

C.D : Nous nous sommes servis des données que la Métropole a centralisées et libérées en open-data [Station Le Vélo en temps réel — DataHub]. Depuis 2017, Bordeaux Métropole collecte de la donnée sur le parc de vélo en libre-service. Celle-ci est d’ailleurs utilisée par des développeurs d’applications.

Grâce à ces données, nous avons créé un tableau de bord comportant des indicateurs comme le nombre de vélos présents dans chaque station, le nombre de places vides, l’état de fonctionnement de la station… Ces données ont été “historisées”, ce qui nous permet aujourd’hui de comparer ces informations sur différentes périodes.

« L’analyse des données nous a permis d’optimiser les tournées de remplissage des stations et d’améliorer la qualité de service à l’échelle de la métropole »

Comment ces données vous permettent-elles d’améliorer l’efficacité du réseau de vélos en libre accès ?

C.D : L’analyse de ces données est riche en enseignements. Nous avons constaté que certaines stations étaient trop vides ou trop pleines sur certains créneaux horaires. C’était le cas chaque jeudi soir pour les stations du centre-ville, un phénomène lié à la sortie des bars et des boîtes de nuit qui occasionne des mouvements massifs. Nous connaissions le phénomène, mais nous avons pu le quantifier précisément pour prendre des mesures adaptées. Nous avons donc demandé une réaffectation du personnel qui assure la tournée de remplissage des stations à ces heures-là.

Par ailleurs, les données ont mis en évidence les stations qui ne sont pas assez utilisées, ce qui nous a permis de réfléchir à des implantations plus propices. À l’inverse, d’autres étaient particulièrement fréquentées : nous avons ainsi pu planifier l’ajout de nouvelles places pour répondre à la demande.

Un autre point à souligner : nous sommes désormais en mesure de répondre aux réclamations des usagers avec davantage de rapidité et de précision. Grâce à une analyse du problème par le spectre de la donnée, nous pouvons communiquer plus efficacement avec l’usager. Ce travail d’optimisation du réseau a d’ailleurs fait drastiquement chuter le nombre de réclamations.

« Le projet a dépassé sa fonction en se mettant au service de la disponibilité des données publiques de mobilité »

Ce projet a-t-il changé votre façon de collaborer avec le délégataire ?

C.D : Tout à fait. Le fait que Bordeaux Métropole dispose désormais d’une vision globale de son réseau de vélos en libre accès a permis un dialogue sur un pied d’égalité avec le délégataire ce qui l’a invité à modifier sa posture et à renforcer sa vigilance. De notre côté, nous pouvons préparer le comité mensuel de suivi vélo de façon proactive et suggérer des axes d’amélioration. Cette démarche collaborative a amélioré la qualité du service rendu aux usagers. Le taux de disponibilité des stations de vélos, qui avait autrefois chuté à 50%, est aujourd’hui remonté à 90%. Il atteindra donc très prochainement l’objectif attendu de 95%.

L’importance croissante prise par la donnée et la découverte d’interruptions des flux de données en provenance du délégataire nous a amenés à ajouter une annexe au contrat avec le délégataire, qui stipule qu’en cas de décrochage du flux de données, celui-ci doit être rétabli dans un délai de 6 heures. Passé ce délai, l’exploitant s’expose à des pénalités.

Quelles sont les prochaines étapes ?

C.D : Pour mieux comprendre l’évolution de l’usage des vélos en libre accès entre deux périodes, nous avons besoin de données contextuelles. Au mois de septembre, nous avons constaté une baisse de 4% des locations de vélos par rapport à l'année précédente. Dans le même temps, la fréquentation des bus et des tramways a augmenté de 7%. Nous savons que ces évolutions sont liées aux conditions météorologiques. Dans le futur, nous aimerions pouvoir quantifier précisément l'impact du facteur vent et du facteur pluie sur l’usage des vélos. Là encore, les données doivent être au rendez-vous !

Enfin, la Direction Générale des Mobilités a la volonté de renforcer encore davantage la qualité des services proposés aux usagers. Dans cette optique, nous sommes en train d’élaborer un tableau de bord décisionnel pour suivre l’ensemble des réseaux de transport public : bus, navettes fluviales, etc. Ce projet dédié au réseau de vélos en libre accès était donc une première étape. L'extension de cette logique a déjà commencé, avec la mise en place d’un suivi de l’efficacité des remplissages des parcs relais.

Le(s) jeu(x) de données Datahub en lien avec l’article :

A la Une
L’Observatoire métropolitain des inégalités numériques : révéler, comprendre et agir grâce à la donnée 10 février 2025

Des fractures numériques au-delà des clichés

Parmi les constats les plus marquants, l’enquête a révélé que 50 % des habitants expriment une crainte face à leur capacité à repérer des fausses informations, témoignant d’une réelle inquiétude quant aux risques numériques, notamment les fake news. Cette donnée met en lumière une tension entre la maturité croissante des internautes et une certaine vulnérabilité face à la complexité croissante des usages numériques.

Un autre enseignement majeur concerne le rôle des proches aidants dans l’accompagnement au numérique. 75 % des habitants déclarent venir en aide à un proche en difficulté face à un écran, avec une forte implication des jeunes générations. En effet, 91 % des moins de 30 ans jouent ce rôle, un chiffre qui contraste avec les 55 % observés chez les plus de 60 ans. Ces chiffres soulignent une solidarité intergénérationnelle essentielle dans un contexte où la fracture numérique ne se limite pas à l’accès, mais touche aussi les compétences et l’aisance face aux outils numériques.

Graphique sur l'aide aux proches

Des données au service de l’action

Les données issues de l’Observatoire fournissent une base solide pour comprendre les inégalités numériques et orienter les politiques publiques. Elles permettent d’adapter les stratégies locales aux réalités spécifiques de leurs territoires et en appuyant les associations et organismes sociaux dans leur action. Ces informations, disponibles via le Datahub métropolitain - données de l’observatoire , offrent un accès transparent aux décideurs, aux chercheurs et aux professionnels. L’objectif est de transformer ces données en leviers pour mieux cibler les efforts d’inclusion numérique. L’Open Data joue ici un rôle central, permettant d’aller au-delà des statistiques brutes pour explorer des dynamiques plus fines, notamment sociologiques. Cette approche favorise une compréhension approfondie des vulnérabilités numériques et soutient une gouvernance fondée sur des preuves concrètes.

Mobiliser et accompagner pour un numérique inclusif

L’un des axes prioritaires consiste à rendre ces résultats accessibles et compréhensibles pour tous. La datavisualisation, par exemple, constitue un outil puissant pour diffuser la connaissance et sensibiliser un large public : Observatoire des inégalités numériques. Par ailleurs, des efforts sont en cours pour automatiser des services tels que le Guide des lieux d’inclusion numérique, qui recense les points d’accompagnement disponibles sur le territoire. Lieux inclusion numérique. Ces initiatives visent à garantir un soutien efficace et à maintenir une approche proactive de l’inclusion numérique.

Les perspectives ouvertes par cette enquête ne s’arrêtent pas là. Les résultats mettent également en lumière des thématiques encore peu explorées, comme les enjeux liés au rôle des aidants ou aux perceptions du numérique chez les différentes catégories de la population. Ces dimensions seront approfondies dans les années à venir pour affiner les réponses apportées aux habitants.

Une nouvelle dynamique pour répondre aux défis numériques

Grâce à une connaissance précise des disparités numériques, Bordeaux Métropole se donne les moyens de bâtir des politiques publiques inclusives et innovantes. Les enseignements de l’enquête 2023 ouvrent une voie ambitieuse vers un numérique au service de tous, en prenant en compte non seulement les besoins individuels, mais aussi les solidarités et les perceptions collectives. Avec l’Observatoire métropolitain des inégalités numériques, Bordeaux Métropole réaffirme son engagement à construire un territoire où le numérique est une opportunité partagée.

Pour aller plus loin :

Construire un territoire de solidarité numérique | Bordeaux Métropole

Les jeux de données Datahub en lien avec l’article :

A la Une
METRODATA : 110 étudiants mobilisés pour transformer les données en indicateurs des transitions 6 février 2025

À un moment où la data transforme la prise de décision, Bordeaux Métropole innove avec METRODATA, un datathon qui utilise les données territoriales pour guider les transitions économiques et sociales. Pendant 48 heures, 110 étudiants ont relevé ce défi, démontrant le potentiel des données.

L'événement a réuni neuf équipes pluridisciplinaires composées d'étudiants de Bordeaux INP, Bordeaux YNOV Campus, l'Université de Bordeaux, KEDGE Business School et Sciences Po Bordeaux.

Des défis relevés avec brio

Trois équipes se sont particulièrement distinguées par la pertinence de leurs propositions :

  • Pour le défi « Transitions écologiques », l'équipe Observatoire Ecometric a développé des indicateurs sophistiqués mesurant la consommation énergétique des entreprises et analysant l'adéquation entre mobilités douces et zones d'activités.
  • Pour le défi « Transitions sociales au sein des entreprises », l’équipe TransFair est lauréate avec sa conception d’un tableau de bord comparatif des inégalités salariales hommes/femmes entre métropoles, complété par des métriques sur la pérennité des structures de l'économie sociale et solidaire.
  • Pour le défi « emploi », l'équipe Ob-secteurs a proposé une analyse fine de l'adéquation entre offre et demande par secteur d'activité, incluant un suivi de l'évolution du statut d'auto-entrepreneur.

Un prix « Coup de cœur du public »

Le « Coup de Cœur du public », décerné par près d'une centaine de professionnels présents (entreprises, services métropolitains et partenaires économiques), est revenu à l'équipe TransFair. Cette double distinction leur a valu des places pour Cartoon Movie ainsi qu'un afterwork privilégié avec l'écosystème startup de la French Tech.

Avec cette initiative Bordeaux Métropole mobilise les talents de son territoire pour transformer la donnée en ressource stratégique, dans le respect des principes éthiques fondamentaux de la gouvernance des données.

Pour aller plus loin :

Vidéo - Au coeur de Bordeaux Métropole - Le datathon
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Alliance de Territoire
L'Alliance de Territoire pour la Donnée est une démarche collective visant à utiliser et à valoriser la donnée comme ressource stratégique pour notre territoire. Cette initiative fédératrice vise à renforcer les coopérations autour du partage de la connaissance territoriale, à stimuler l’innovation et à améliorer la qualité des services publics en tirant parti d’une utilisation intelligente des données. Les acteurs publics et les grands opérateurs
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